Dans cet article, nous analyserons Juillet 1794 sous différentes perspectives dans le but de fournir une vue complète sur ce sujet. Juillet 1794 est un sujet d'une grande actualité aujourd'hui, et son importance s'étend à divers domaines, de la sphère personnelle à la sphère professionnelle. Tout au long de ce texte, nous explorerons ses origines, son évolution, son impact et ses éventuelles répercussions futures. De plus, nous approfondirons ses aspects les plus remarquables et les plus controversés, en essayant de faire la lumière sur ce sujet complexe et en constante évolution. En prêtant attention aux différentes approches et opinions qui existent autour de Juillet 1794, nous visons à offrir une vision complète et enrichissante au lecteur.
Nuit du 23 au 24 juillet : découverte d’un complot jacobin à Vienne. Johann Hackel, Andreas von Riedel, Franz Hebenstreit, Heinrich Jeline, Jakob Ignaz Jutz, Ignace Martinovics(hu), Cajetan von Gilowsky sont arrêtés.
26 juillet (8thermidoran II), France : Robespierre monte à la tribune de la Convention et expose son programme : maintien de la Terreur, renouvellement du Comité de sûreté générale et subordination totale au Comité de salut public. Il annonce des sanctions contre les « fripons » et dénonce les députés modérés. Il ne nomme personne et tous se sentent menacés. Il n'obtient aucun vote de la Convention. Le soir, il rallie à son programme la majorité du Club des jacobins.
31 juillet (13thermidoran II), France : démantèlement de l'appareil de Terreur : les Comités de salut public et de sûreté générale sont replacés sous la règle du renouvellement mensuel des membres, et pour éviter les membres permanents, un député ne peut y être réélu qu'après un délai d'un mois.
22 juillet (4thermidoran II) : la maréchale de Noailles, née Françoise-Charlotte de Cossé-Brissac, grand-mère paternelle d'Adrienne d'Ayen, marquise de La Fayette ; la duchesse d'Ayen, née Henriette d'Aguesseau, mère de Mme de La Fayette ; la vicomtesse de Noailles, sœur aînée de Mme de La Fayette (guillotinées).
↑Beatrix Müller-Kampel, Edith Rosenstrauch-Königsberg : von der Metallschleiferin zur Germanistin : Lebensstationen und historische Forschungen einer Emigrantin und Remigrantin aus Wien, Böhlau Verlag Wien, , 247 p. (ISBN978-3-205-99307-0, présentation en ligne)