Dans le monde d'aujourd'hui, Prieuré Notre-Dame de La Charité-sur-Loire a acquis une pertinence sans précédent. Que ce soit en raison de son impact sur la société, la culture populaire ou l’histoire, Prieuré Notre-Dame de La Charité-sur-Loire est devenu un sujet d’intérêt pour des millions de personnes à travers le monde. Depuis son émergence jusqu'à aujourd'hui, Prieuré Notre-Dame de La Charité-sur-Loire a suscité des débats, des réflexions et des analyses dans divers domaines, générant une infinité d'opinions et de perspectives. Dans cet article, nous explorerons l'importance de Prieuré Notre-Dame de La Charité-sur-Loire et son influence sur différents aspects de la vie contemporaine, ainsi que sa pertinence dans l'histoire passée et future.
Le prieuré Notre-Dame de La Charité-sur-Loire est un prieuré bénédictin situé dans le département de la Nièvre, dont la charte de fondation remonte à 1059 avec la donation d'une église Sainte-Marie. Il est connu en 1070 sous le nom de Caritate et fait partie du diocèse d'Auxerre.
Il a subi des modifications au XIIe siècle, notamment la construction d'un déambulatoire à chapelles rayonnantes. L'église est surtout réputée pour son chevet à chapelles rayonnantes et sa façade (Ouest) avec ses deux tympans. Elle appartenait à un important prieuré dépendant de la puissante abbaye de Cluny, en Bourgogne dont il était une des cinq filles aînées. C'est pourquoi elle était, au Moyen Âge, la seconde plus grande église de France, après celle de Cluny III. Riche et puissant, le prieuré clunisien de La Charité-sur-Loire s'enrichit de nombreuses donations et possessions dès sa création. La grande église priorale actuelle doit montrer de par son décor soigné et sa grandeur, tout comme celle de Cluny, le rayonnement de l'ordre et du prieuré.
La construction du monastère de La Charité commence en 1052 sous le prieur dom Gérard de Cluny, sur des terres que lui donne Guillaume Ier, comte de Nevers. Il y avait cependant déjà eu une ou des constructions préexistantes, révélées par des recherches archéologiques sur la place Sainte-Croix (devant l'église) en 2015. Un monastère du nom de Seyr aurait été construit à cet emplacement vers l’an 700 ; il aurait été détruit lors des raids vikings du IXe siècle.
En 1213, le pape Innocent III approuve la garde du prieuré et la procuration ou pension due par le prieuré de La Charité au comte de Nevers.
« de fort grande anciénné avoient droit de garde & protection de plusieurs Abbayes, Prieurez & Églises, tant pour en être Fondateurs, comme en vertu des convenances faites avec justes causes, homologuées, ou par prescription de tems immemorial le Prieuré de La Charité au Diocese d'Auxerre Quant à la garde du Prieuré de La Charité se trouve Jugement arbitral de l'Évêque de Senlis, Guarin, Chancellier de France, par lequel les religieux reconnoissent le Bourg de La Charité & appartenance, êtes de la garde du comte est tenu de faire amender les torts qui auroient été faits ausdits Religieux en ce qui est de Juridiction seculiere . Jugement homologué par Louis qui témoigne que le compromis fut fait en sa presence en date de l'an 1224. »
Une crise éclate au début du XIIIe siècle entre la maison-mère et le prieuré qui connaît des problèmes financiers, ainsi que des conflits politiques. Puis viennent les guerres des XIVe et XVIe siècles, qui détruisent les bâtiments. Sans oublier l'incendie de juillet 1559 qui ravage église et bâtiments conventuels. N'ayant pas les moyens de remettre l'ensemble des bâtiments en état, les travaux de première nécessité sont réalisés en ce temps de guerres de Religion. Pendant deux siècles du XVIIe au XVIIIe, plusieurs tentatives de réforme sont envisagées sans succès.
Nicolas Colbert et son neveu Jacques-Nicolas Colbert furent nommés successivement par le pape prieurs de La Charité à condition de reconstruire le prieuré dévasté par un incendie 100 ans plus tôt. Les travaux commencèrent en 1667.
Le prieuré retrouve son faste sous le prieurat du cardinal de Bernis (1757-1790).
La Révolution laisse son empreinte sur le monastère qui est fermé en 1791. L'église devient paroissiale, les bâtiments sont vendus, et pendant les XIXe et XXe siècles s'installent successivement : une faïencerie, une fabrique de chaussures, un négoce en vin, qui font subir des transformations néfastes mais sauvent le prieuré de la destruction.
En 1840, Prosper Mérimée sauva l'édifice d'une destruction programmée par le passage de la route royale de Nevers à Paris entre le chœur et la tour de façade.
Depuis 2001 le prieuré est le site d’un des plus grands chantiers de restauration de Bourgogne.
Architecture
L'église prieurale, façade occidentale
Son tympan (1130-1135) porte le thème de l'Assomption de la Vierge, thème assez peu répandu sur les tympans romans. Il est présent néanmoins à Corneilla-de-Conflent, Cabestany, Gensac-la-Pallue, et plus tard dans des compositions gothiques (Notre-Dame de Paris, Notre-Dame de Chartres). Il est associé avec les scènes du linteau mettant en valeur le Fiat de la Vierge : l'Annonciation, la Visitation, l'Assomption que complète l'Annonce aux bergers. La dévotion mariale est très forte dans la liturgie clunisienne et principalement à La Charité placée sous le vocable de la Vierge, dont la fête patronale était le jour de l'Assomption,.
Le transept sud
Son tympan daté de 1132, provenant de la façade occidentale, est visible sur la face intérieure du bras sud du transept. Son thème principal est la Transfiguration, c'est-à-dire l'apparition de Moïse et d'Élie aux côtés du Christ dans sa gloire divine. Ce sujet n'était pas le plus représenté à l'époque romane, car le Christ n'en est pas l'unique protagoniste, ce n'est donc pas une théophanie dans le vrai sens du terme. Cependant, il est très bien maîtrisé à La Charité-sur-Loire, le Sauveur étant nettement séparé des personnages de l'Ancien Testament, dans une mandorle.
Le tympan est ceinturé d'un arc outrepassé, qui lui permet d'être découpé en un demi-disque sur le registre supérieur, et une frise de type linteau pour le registre inférieur. Cette partie est elle-même scindée en deux zones inégales, à gauche portant l'Adoration des Mages, et à droite la Présentation au Temple. Ces deux scènes font partie du cycle iconographique de l'Enfance du Christ incarné, alors que la Transfiguration qui prend la place habituelle d'une Ascension ou d'une théophanie à la fin des Temps est un des symboles de la continuité entre l'Ancien Testament et le Nouveau Testament. C'est Pierre le Vénérable qui introduisit la fête de la Transfiguration dans la liturgie clunisienne.
Église Notre-Dame de La Charité-sur-Loire
Le clocher de l'église.
L'entrée sud de l'église.
L'ossuaire de l'église.
Frise sur le portail de l'église.
L'intérieur de l'église Notre-Dame
Au XIIe siècle, le chevet à sept absides échelonnées est replacé par un chevet déambulatoire et chapelles rayonnantes.
Bien que très remaniée au XVIIe siècle, l'intérieur de l'église Notre-Dame, récemment[Quand ?] restauré, impressionne par son transept de grande dimension, avec de hautes colonnes reposant sur des arcs brisés.
Le chœur est composé de trois travées avec une voûte en berceau brisé, l'abside présentant un faux triforium et est entouré d'un déambulatoire avec des chapelles rayonnantes. Les chapiteaux du chœur présentent des sculptures à motifs pour la plupart animaliers. Les stalles furent installées sous Jean de La Magdeleine de Ragny en même temps que fut réalisé le passage de La Madeleine et la façade de l'église. C'est sous le prieur Jacques Nicolas Colbert que fut refaite une partie de l'église.
Sur le mur intérieur du croisillon sud se trouve le deuxième tympan qui présente dans une mandorle le Christ, entouré des deux prophètes Moïse et Élie. Les apôtres sont aussi représentés et plusieurs scènes de la vie de Jésus-Christ comme l'Adoration des mages et la Présentation au Temple.
L'église Saint-Laurent
Son chevet fut découvert lors des fouilles de 1975, dans le jardin contigu à l'église prieurale.
Elle est dédiée à « tous les saints », mais plus tard elle est connue sous le vocable de saint Laurent. C'était un lieu de prières autour des reliques, à l'attention de tous les saints, et des défunts y ayant fondé leur obit. On y donne des cérémonies avec de nombreuses processions, selon les coutumiers.
Elle est refaite après les incendies du XIIIe siècle.
Le cloître
Il a été refait après les incendies du XIIIe siècle du côté est, puis au XVIIe siècle par le prieur Jacques Nicolas Colbert, toujours du côté de la galerie est.
Les bâtiments conventuels
Au début du XVIe siècle, de nombreux travaux de restaurations et de constructions furent entrepris sous le prieurat de Jean de La Magdeleine de Ragny, dont la porterie, le logis prieural et le pressoir commun. Des bâtiments disparaissent sous des terrasses pendant le prieurat de Jacques Nicolas Colbert. Le bâtiment au nord du cloître est réalisé sous le cardinal de Bernis.
Le grenier à sel
Le prieuré avait un grenier à sel qui comprenait quarante et une paroisses de sa juridiction.
prieuré Saint-Sulpice-le-Châtel, commune du canton d'Azy (Cher), donné en 1088 par Hugues de Montigny, vicomte de Nevers, leur donnant droit de nomination à la cure, de dîmes, de cens et autres, ;
prieuré de Coulonge. Une charte donnée à Donzy en septembre 1331, signée par le prieur de La Charité et les religieux, stipule que le droit de garde est reconnu à un sergent gardien. Clause encore observée en 1600 ;
prieuré Saint-Laurent de Béard, qui cessera au XIIIe siècle pour devenir une église paroissiale, l'église Saint-Laurent de Béard citée comme étant curatus (cure) de Béard. Dans le pouillé de 1478, elle est au prieuré de Lurcy-le-Bourg qui lui-même dépend du prieuré Notre-Dame de La Charité-sur-Loire ;
Le prieuré Notre-Dame possédait vingt-cinq paroisses des Amognes dans le Nivernais. Elles rendaient hommage au prieur le jour de la Nativité de Notre-Dame :
église de Fleury-la-Tour (Nièvre), avec les sépultures, baptistères et autres dépendances comme le moulin de Fleury, à charge pour le prieur de Saint-Sulpice de venir prêcher de temps à autre à Fleury ;
Nozay, ou Nozet : château terre et village près de Pouilly, donné en 1234
Soury
Champvoux
Fief de la Maison-Fort, paroisse de Munot
Fief de Révérien, ville de La Charité
Fief de Gérigny, paroisse Saint-Pierre de La Charité
Fief d'Ouche, paroisse de Raveau
Fief de Mignard, paroisse de Narcy
Fief de Ville, paroisse de Narcy
Fief de Maurepoux, paroisse de Narcy
Fief de Bulcy, paroisse de Bulcy
Fief des Roches, paroisse d'Aubigny
Fief du Clos d'Estroches, paroisse de Laché, en Nivernais
Fief du Petit-Charly, paroisse de Chaulgnes
Fief de Froidefonds, paroisse de Sancoins
Fief dixme de Passy, paroisse de Narcy
Fief de Mannay (Vielmanay)
Fief de la Boullaye, paroisse de Perroy
Fief de la Pointe, près de La Charité
Fief de la Grande Maison de Raveau
Fief de la Métairie à l’Âne
Maisons
À Nevers, rue de la Saulnerie et sur l'actuelle place Saint-Sébastien, plusieurs maisons groupées autour de la chapelle Notre-Dame, puis chapelle du Marché au blé, puis chapelle Saint-Sébastien, et enfin Saint-Sébatien et Saint-Roch. Ces maisons et la chapelle furent démolies en 1759.
Terres et vignes
Loge aux Moines : parcelle de vigne de quatre hectares à Pouilly-sur-Loire.
1143-1150 : Guy dit aussi Guillaume I (sixième prieur)
1150-1154 : Thurdart ou Theodart
1154-1162 : Raynaud
1162-1173 : Rodolphe de Sully Il fait élever les remparts autour de la ville (dixième prieur).
1173-1175 : Geoffroy I
1175-1179 : Odes II
1179-1192 : Guy de La Charité
1192-1198 : Savary
1198-1209 : Guillaume II de Gaucourt, ex prieur de Sézanne
1209-, : Geoffroy II de Donzy Il dilapide le patrimoine du prieuré et est excommunié par l'abbé de Cluny, Guillaume (abbé 1207-1215), qui le retient prisonnier dans le prieuré.
1212-1215 : Guillaume III, alors abbé de Cluny (Guillaume II d'Alsace, 1207-1215)
1215-1218 : Hugues de Bourbon
1218-1225 : Elie
1225-1235 : Etienne
1235-1237 : Landry
1237-1240 : Thibault
1240-1244 : Guillaume IV de Pontoise
1244-1262 : Jean de La Rivière
1262-1274 : Milon de Vergy
1274-1294 : Simon d'Armentières, cardinal
1294-1296 : Bertrand de Colombiers
1296-1333 : Pierre de Beaujeu
1333-1336 : Jean de Mazières
1336-1342 : Guillaume V de Poitiers
1342-1350 : Othon de Poitiers, neveu du précédent
1350-1364 : Pierre du Puy-Ischer ou du Puy-Septier
1488~1504 : Antoine de Roche (1422-1505), grand-prieur de Cluny, prieur de Morteau, religieux profès du monastère de Vaux, docteur et célèbre professeur de droit canonique à l'université de Dole, fondateur en 1491 du collège Saint Jérôme à Dole. Quelque temps avant sa mort il résigne le prieuré de la Charité au profit de Jean de la Madeleine.
1504-1538 : Jean de la Magdeleine de Ragny, prieur régulier
1629-1646 : Alphonse-Louis du Plessis de Richelieu, cardinal, archevêque de Lyon en 1628, long procès avec son successeur Pierre Payen des Landes, qu'il perdit
1646-1663 : Pierre Payen des Landes
1663-1664 : Jean Martineau, neveu du précédent, conseiller-clerc au parlement de Paris, l'échange avec le suivant contre l'Abbaye Saint-Sauveur de Vertus
1664-1665 : Nicolas Colbert (1628-1676), prieur en 1664, évêque de Luçon en 1661 et évêque d'Auxerre en 1671
1665-1707 : Jacques-Nicolas Colbert (1655-1707), neveu du précédent, archevêque de Rouen en 1691, membre de l'Académie française, fils du ministre Jean-Baptiste Colbert
1707-1732 : Jacques-Frédéric-Constantin de La Tour d'Auvergne
1732-1748 : Frédéric-Jérôme de La Rochefoucauld de Roye, archevêque de Bourges en 1732
1748-1757 : Dominique de La Rochefoucauld, archevêque d'Albi en 1748
Dom Robert Mauvielle, prieur claustral (sous-prieur), mort le de la peste, contractée après avoir remplacé un curé de la ville défaillant. Il joua un rôle dans la réforme du prieuré de la Charité. Son culte fut d'assez courte durée. Il participa en 1627, avec trois autres moines de Cluny, à la réalisation du bréviaire romain-monastique (celui de Paul V), à l'usage de Cluny, à savoir : dom Henri Girard, procureur général, Pierre Lucas, maître des novices, Jacques Naudin, chantre. Son épitaphe se trouve dans la chapelle de la Vierge dans l'église Sainte-Croix de La Charité-sur-Loire ;
Dom Antoine Parmentier, religieux profès de Cluny, chantre du prieuré Notre-Dame de La Charité et prieur de Saint-Honoré, il fut en procès avec Messire Arnaud de Lange, chevalier et seigneur de Villemenan, et Hubert Lange, son fils, le .
Armoiries
« D'azur, à trois bourses ouvertes d'or, liées et ampadonnées de même, chacune chargée d'une quintefeuille de gueules, et en chef une fleur de lys du second émail. »
Inventaire des titres
Il fut dressé en 1739 par Antoine Bataillier, notaire royal.
Notes et références
Notes
↑Il s'agit probablement de l'église priorale, bien que les fouilles archéologiques montrent qu'au XIe siècle une église existait dans l'enceinte du monastère. Voir Arnaud 2002, p. 45, note 2.
↑Il est notable que l'abbé Pierre le Vénérable prend position en faveur de l'idée de l'Assomption corporelle de la Vierge.
↑Amédée Vattier (abbé), « Histoire du prieuré Saint-Christophe », Comité archéologique de Senlis, Comptes-rendus et mémoires, Senlis, impr. Charles Duriez, 1re série, vol. VI « année 1868 », , p. 67-114 (ISSN1162-8820, lire en ligne).
↑Archives départementales de la Nièvre, sous-série 1.Q.852. Baux et revenus (Paray-le-Monial), 1788-an XI.
↑Fédération des sites clunisiens, église Saint-Laurent de Béard (Nièvre).
↑Archives départementales de la Nièvre, cote H.33. (1612-1708) et 1. Q.846 : procès-verbaux d'estimation, soumissions et ventes des biens (1790-1792).
↑Archives départementales de la Nièvre, cote H.473 (1790) et 1.Q.847, ventes des biens (Brassy, Corbigny, et Montsauche), 1790-1792.
↑Archives départementales de la Nièvre, cote H.35 (1787)& 1.Q.848., ventes des biens (Cosne-sur-Loire et Saint-Père), 1790, an VI.
↑Archives départementales de la Nièvre, cote H.36. et 1.Q.850, procès-verbaux d'estimation, soumissions et ventes (plan visuel du bois des Brosses non daté) (Cercy-la-Tour, Limanton et Vandenesse), 1790-1817.
↑Archives départementales de la Nièvre, 1.Q.851., soumissions des biens (Lurcy-le-Bourg), 1790-1791.
↑Archives départementales de la Nièvre, sous-série 1.Q. 849., soumissions des biens (Cossaye), 1790-1791.
↑Archives départementales de la Nièvre, 1.Q.876., bois (Corvol-l'Orgueilleux), 1791.
↑François Félix Chevalier, Mémoires historiques sur la ville et seigneurie de Poligny, vol. 2, impr. Delhorme, , p. 473.
↑M. Maupassant, « Notice sur l'abbaye de Saint-Sauveur de Vertus », Séance publique de la Société d'agriculture, commerce, sciences et arts du département de la Marne, (lire en ligne, consulté le ).
↑Mgr Crosnier, 1916, t. I, pp.408-409. Cité par Dominique Dinet, Religion et sociétés : les réguliers et la vie régionale dans les diocèses d'Auxerre, Langres, Dijon, fin XVIe et XVIIIe siècles, vol. 1, Paris, La Sorbonne, , 950 p..
↑Odon Hurel et Denyse Riche, Cluny, de l'abbaye à l'ordre clunisien Xe – XVIIIe siècles, éd. Armand Colin, , 330 p..
↑Archives départementales de la Nièvre, série B, présidial de Saint-Pierre-le-Moustier, 18 mars 1659.
↑Archives départementales de la Nièvre, cote H.27.
Chantal Arnaud et M. J. Garniche, « Le prieuré clunisien de La Charité-sur-Loire. État de la question », Bulletin de la Société nivernaise des lettres, sciences et arts, vol. 44, , p. 63-94
Chantal Arnaud, « Le monastère de La Charité-sur-Loire (Nièvre) », Dossiers d'Archéologie, no 25,
Claude Aveline, Petite histoire de La Charité, La Charité-sur-Loire,
Alain Bouthier, « L'élection de La Charité-sur-Loire : une anomalie administrative d'ancien régime », Les Cahiers haut-marnais, colloque de l'Association bourguignonne des sociétés savantes, nos 16, 248-251, 2006-2007, p. 11–126
Guy Coquille, Les Œuvres de maistre Guy Coquille, sieur de Romenay, contenant plusieurs traitez touchant les libertez de l'Eglife Gallicane…, t. 1, Bordeaux, Claude Labottière, , 569 p. (lire en ligne)
G. Eysenbach, Insurrection des serfs du Prieuré de Sainte-Milburge de Wenlock, dépendant de La Charité-sur-Loire, vers 1163, t. 3 année= 1841-1842, Bibliothèque de l'École des Chartes, p. 563, 561-567
Fabrice Henrion, « Aux origines du prieuré Notre-Dame de La Charité-sur-Loire (Nièvre), nouvelles données archéologiques et nouvelles hypothèses », Bulletin du Centre d'études médiévales, Auxerre, vol. 19, no 1, (lire en ligne [sur journals.openedition.org])
René de Lespinasse, Cartulaire du prieuré de La Charité-sur-Loire (Nièvre), Ordre de Cluni, Nevers, Morin-Boutillier, (réimpr. H. Champion à Paris), 478 p. (lire en ligne sur Gallica)
Jean Née de La Rochelle, Pierre Gillet et Jean-François Née de La Rochelle, Mémoires sur le département de la Nièvre, vol. I, Bourges, J.B.C. Souchois, , sur books.google.fr (lire en ligne)
J. Vallery-Radot, « L'ancienne prieurale Notre-Dame à La Charité-sur-Loire », Congrès archéologiques de France, , p. 86–103 (présentation en ligne)
Éliane Vergnolle, L'Art roman en France : architecture, sculpture, peinture, Paris, éd. Flammarion, 1994, 2003, 2005, 383 p. (ISBN978-2-08-011296-5)
Archives nationales, XVIIIe siècle, H5. 4764
Archives départementales de la Nièvre, sous-série 1 Q 822-844, par Marie-Claude Guyot